L’amour est un sentiment noble en dehors duquel aucune perspective de bonheur ne saurait se présenter. Il suppose le développement d’une affectivité sans borne vis-à-vis de l’être aimé. La volonté de rester en contact permanent avec cette personne, est alors incontestable. Chez certaines personnes, ce sentiment s’assimile à un mouvement de dévotion qui les porte à la personne aimée.
Celle-ci se voit alors mise sur un piédestal et élevée au rang de divinité. Cependant, est-il toujours prudent d’idéaliser une personne au nom de l’amour qu’on lui porte ? Est-il prudent de lui faire confiance, de croire en elle et de compter sur elle pour vous rendre heureux ? Est-il raisonnable de souscrire au principe selon lequel, l’amour rend aveugle ?
Face à toutes ces interrogations énumérées plus haut, deux positions peuvent adaptées : d’un côté, s’attacher solidement à un amant et lui faire confiance, est nécessaire à la valorisation de son ego. Cependant, il existe un revers qui ne saurait être occulté. Il se matérialise par l’idée selon laquelle, la zone d’ombre qui caractérise tout être humain, fait de lui une entité potentiellement nocive.
Cela étant, une personne aimée peut aussi être un obstacle à votre bonheur, un frein à votre épanouissement et à votre accomplissement. La dépression n’est-elle pas le lot quotidien des personnes qui se sont laissées aveuglement emporter par les charmes d’un être qui ne méritait même pas qu’on s’intéresse à lui ?
Le développement d’un vif élan vers une personne qui en fait autant, est assurément le gage du bonheur, de la quiétude l’âme. Une personne qui aime et qui a l’impression que ce sentiment lui est restitué, est dans un état de ravissement de son être. Elle n’en demande pas plus pour se sentir libérée des multiples angoisses qui jonchent sa vie quotidienne. Il va de soi qu’un tel état faisant échec à l’anxiété, ne saurait rimer avec la dépression.
Un être dépressif a tendance à être replié sur lui-même. Il veut établir autour de lui, une protection contre l’ennemi qui se profile derrière le sentiment d’amertume qui est sien. Son comportement frise la mélancolie, la propension générale au pessimisme.
Tout dans son attitude est empreint de tristesse et de dégoût pour la vie. A contrario, une personne éprise de sentiment amoureux, se caractérise par la joie, la bonne humeur et l’entrain.
Au regard de cette opposition radicale des deux états d’âmes provoqués par l’amour et la dépression, une interrogation mérite d’être mise en lumière. Elle est celle de savoir comment est-il possible d’en arriver là. Qu’est ce qui peut justifier le fait de se sentir bien dans son esprit et d’appréhender la vie du bon côté ou au contraire, de devenir pessimiste et de croire que la vie n’ait plus aucun importance ?
La bonne humeur qui caractérise la personne amoureuse et la morosité de l’univers dans lequel vit une âme dépressive, ne sont que les résultats des jeux qui s’opèrent entre les hormones cérébrales des deux sujets. Il s’agit en réalité, de deux sentiments qui prennent leurs envols dans la dimension psychique de l’être humain et qui ont des répercutions physiologiques. Le cerveau est l’un des premiers organes à subir l’influence de ces entités venues tout droit du psychisme.
En présence d’un sentiment amoureux, le cerveau secrète une hormone qui stimule la gaieté en réfrénant celle qui porte l’être humain vers l’angoisse. En d’autres termes, il se dresse contre tous les assauts des éléments ayant tendance à dégrader l’état d’âme. Il prédispose alors l’être humain à apprécier la vie et à l’envisager toujours sous l’angle du bien, malgré les vicissitudes de la vie quotidienne.
Le départ du sentiment d’amour sonne également le glas de celui des hormones cérébrales qui sous-tendaient cette impression de bonheur et de bien-être. Il laisse à sa place, une vive amertume stimulée par l’hormone de l’anxiété. L’esprit du sujet est alors imbu d’une tristesse qui est généralement qualifiée de chagrin d’amour. C’est en ce moment que se manifeste la seconde facette moins reluisante de l’état amoureux. Elle est celle qui s’empare des personnes n’ayant pas su voir la propension à la trahison de l’être aimé.
Ayant de nombreuses années d'expérience en tant qu'auteur et coach de le reconquête - aux Pays-Bas et en France - Michelle van den Berghe a su aider de nombreuses personnes dans leur reconquête amoureuse grâce à ses conseils ciblés pour chaque situation. En dehors de son travail en tant que coach Michelle est auteur des livres portant sur les problèmes relationnels et elle a conçu son unique programme de coaching en ligne accessible à toute personne désirant savoir comment récupérer son ex